RSE : Déjà 3 années de bilan sur l’empreinte carbone des déplacements

Avec une équipe stable en nombre de collaborateurs et en activité, nous avons choisi de chiffrer déplacements professionnels et déplacements domicile-travail.

Pour ce dernier point, les collaborateurs ont donné des précisions sur leur véhicule et leurs habitudes (trajet pour pause déjeuner, covoiturage...).

Les déplacements professionnels prennent en compte tous modes de transports sur les parcelles, dans d’autres autres régions ou à l’étranger dans le cadre de partenariats scientifiques et techniques. L’effet, pandémie est très visible -35 % de GES (Gaz à Effet de Serre) entre 2019 et 2020 et l’année 2020 non exploitable.

Pour 2021 nous nous attendions à une légère baisse des émissions par rapport à 2019, liée à la mise en place de nouveaux outils de communication et à la multiplication de la visioconférence.

Nous avons constaté au contraire une légère augmentation des émissions (+5 %) car nous avons utilisé à plusieurs reprises des véhicules pour un même trajet au lieu de covoiturer.

Pour nos trajets domicile-travail, l’écart 2019-2021 reflète nos attentes avec la possibilité de télétravailler hors et pendant les épisodes de crise sanitaire. Les deux phénomènes combinés ont engendré une baisse de 26 % des émissions entre 2019 et 2021.

Une tonne équivalent CO2 (tCO2eq), c’est :

  • un vol aller/retour Paris-New-York (par passager)
  • un trajet de 6000 km avec une voiture au diesel
  • une consommation de 4300 kWh d’électricité.